Quand j’avais entendu que le zoo de Beauval, à Saint-Aignan (entre Tours et Vierzon), accueillait cette année des pandas géants, je m’étais promis d’aller découvrir ce zoo dès que l’occasion se présenterait, et d’aller rendre visite à ses nouveaux pensionnaires.

Nos quelques jours en Val de Loire étaient donc en partis motivés par ce but, et nous avons mis le réveil de bonne heure mercredi dernier, pour quitter au plus tôt notre hôtel à Amboise et arriver avant 9h devant les grilles où se pressaient déjà 50 mètres de queue.

Dès l’ouverture, nous avons donc traversé tout le zoo d’un bon pas, pour arriver jusqu’à la partie chinoise située à l’extrême sud du parc.

Le premier enclos de cette zone est celui des pandas roux, que je trouve particulièrement mignons ! L’un des deux était par chance visible sur une branche, mais il n’a pas voulu tourner la tête !

Et quand je suis repassée un peu plus tard, les pandas roux étaient plongés dans leur activité favorite : la sieste !

Nous nous sommes ensuite dirigés vers les deux très grands enclos des pandas géants, qui étaient eux aussi occupés à leur activité favorite : la dégustation de bambou, dans toutes les positions !

Quelques heures plus tard, nous sommes repassés devant les enclos et avons trouvé cette fois un panda en train de boire et de prendre le frais dans la brume du bord du bassin. Cependant, il est retourné bien vite à son activité favorite… 🙂

Non loin de cette partie chinoise, un autre animal attire de nombreux visiteurs. C’est Rungwe, le premier éléphanteau né au zoo le 20 juillet dernier, qui reste pour l’instant auprès de sa mère, dans la maison des éléphants ou un enclos tout proche, à l’écart de leurs congénères visibles plus haut.

L’éléphanteau ravit la foule qui se presse au-dessus de l’enclos, dedans ou dehors, suivant le moment de la journée (nous lui avons également rendu visite deux fois 🙂 ) car il semble pataud et maladroit. En plus, il essayait de passer entre les barreaux autour desquels ses oreilles s’enroulaient.

Là encore, on serait volontiers resté plus longtemps, mais le reste du parc nous appelait !

Notre quatrième coup de cœur ira ensuite aux koalas, que l’on pouvait voir derrière une vitre dans la serre australienne, même si l’image était floutée par les reflets dans la vitre.

Mais voilà encore une espèce dont l’activité principale est le sommeil, et il est bien difficile de voir leur jolie frimousse !

Mis à part ces animaux coups de coeur, le zoo de Beauval nous a un peu déçus, entre allées trop étroites (par moment, je me croyais dans le rayon fournitures de mon hyper une veille de rentrée !), et animaux peu visibles, que ce soit dans des enclos extérieurs, des aquariums, ou derrière les vitres (impression encore renforcée quand nous nous sommes ensuite régalés au zoo de Doué dont je vous parlerai prochainement).

Difficile par exemple d’observer le lamantin en entier dans son aquarium, toujours à cause des reflets. Voyez plutôt !

Quant à la tortue de mer, j’ai failli la manquer !

Lassés par le bruit ambiant et les “embouteillages” (il faut dire aussi que nous sommes habitués aux beaux espaces du zoo d’Amnéville, que nous avons régulièrement fréquenté quand nous habitions en Lorraine, et qui nous a rendus probablement un peu difficiles !), nous avons quitté le zoo en début d’après-midi, non sans en avoir quand même d’abord fait presque deux fois le tour, notamment pour voir les okapis, situés entre pandas et éléphanteau, et qui étaient encore enfermés lors de notre arrivée matinale.

Pour finir, voici un aperçu de quelques uns des autres  animaux qui ont attiré notre attention et que j’ai réussi à photographier !

Si vous voulez en savoir plus sur le zoo de Beauval, vous trouverez toutes les infos (tarifs, horaires, animaux, etc.) sur le site : www.zoobeauval.com