idée lecture pour votre été 😉 …

Entre deux reportages sur la Bretagne, je voulais absolument vous parler du dernier roman que j’avais dévoré, Tu Comprendras quand tu seras plus grande, de Virginie Grimaldi, auteure française  dont le premier roman Le Premier jour du reste de ma vie avait été publié en 2015.

roman grimaldi tu comprendras quand tu seras plus grande

Le sujet du livre, avec la présentation de l’éditeur :

Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ?
C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.

C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur.

Un humour décapant, des personnages attachants et une profonde humanité.
En le refermant, on n’a qu’une envie :  celle de se délecter des petits bonheurs qu’offre la vie.

Julia est attachante, avec ses peurs, son chagrin qu’elle n’arrive pas à surmonter depuis la mort de son père. Elle pourrait ressembler à cette Bridget Jones qui nous faisait tant rire si au contraire de celle-ci, elle ne fuyait pas les relations amoureuses.

Mais comme elle, Julia est drôle ! J’ai adoré dans ce livre les pointes d’humour distillées par cette jeune psychologue ayant accepté un poste en maison de retraite, alors qu’elle redoute ce qui s’apparente à la vieillesse et fait fatalement penser à la mort… Je ne me contentais pas de sourire… je riais carrément, et j’étais “obligée” de raconter des passages à mon mari pour lui raconter ce qui m’avait fait rire !

Et pour vous scotcher définitivement au roman, il y a les pensionnaires de la maison de retraite, farceurs, tendres, émouvants, drôles, amoureux aussi… ou agaçants voire pénibles ! 🙂

Le ton de ce livre m’a rappelé un livre d’Agnès Ledig, que j’avais lu quand j’étais en clinique, qui m’avait fait pleurer et sourire en même temps. (D’ailleurs, ça m’a donné envie d’en lire un autre, ce qui me donnera l’occasion de vous parler des deux à la fois dans un prochain article. 😉 )

Il m’a rappelé aussi les deux romans de Barbara Constantine dont je vous avais parlé en … 2012 !

Si ces auteurs vous parlent, sautez sur le roman de Virginie Grimaldi, vous ne serez pas déçus !