quand je retrouve un de mes auteurs favoris du moment

J’ai découvert Michel Bussi il y a deux ans, avec “Un avion sans elle“, un roman à suspense qui m’avait emballée !

Son dernier roman s’intitule “Maman a tort“, et je l’ai dévoré en quelques jours, retrouvant le plaisir de son écriture, de ses mises en scènes et de ses personnages. Contrairement au précédent roman que j’avais lu, “N’oublier jamais“, qui était assez compliqué, celui-ci se dévore facilement et je vous le recommande si vous cherchez un bon roman policier.

roman Bussi maman a tort

On y suit Marianne, une femme flic qui enquête sur un casse, mais qui se voit contactée en parallèle par un psychologue scolaire intrigué par un des enfants qu’il suit, lequel prétend que sa maman n’est pas la vraie. L’enfant n’a que 3 ans, mais le psy est persuadé qu’il dit la vérité et il veut aider l’enfant avant que sa mémoire ne s’estompe.

Tiraillée entre une enquête importante et cette demande, Marianne tente de mener les deux enquêtes de front…

Voici la présentation de l’éditeur :
Rien n’est plus éphémère que la mémoire d’un enfant.
Quand Malone, du haut ses trois ans et demi, affirme que sa maman n’est pas sa vraie maman,même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire le croit.
Il est le seul… Il doit agir vite.
Découvrir la vérité cachée. Trouver de l’aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s’effacent. Ils ne tiennent plus qu’à un fil, qu’à des bouts de souvenirs, qu’aux conversations qu’il entretient avec Gouti, sa peluche.
Le compte à rebours a commencé.
Avant que tout bascule. Que l’engrenage se déclenche. Quel les masques tombent.
Qui est Malone ?

Si je me suis autant attachée à cette histoire, c’est peut-être parce que j’avais vu dans le même temps une émission à la télé qui traitait de la mémoire de la petite enfance. Du coup, les explications du psy me semblaient plus claires et j’étais impatiente moi aussi qu’il arrive à faire la lumière sur la situation de cet enfant, avant qu’il n’ait tout oublié.

Ce que j’apprécie aussi chez Bussi, c’est que j’arrive à faire un film de ce que je lis, à planter des décors, si bien que l’histoire se lit comme on suit un film d’action, en retenant parfois son souffle…

Avec ce roman, Bussi reste indéniablement dans la liste de mes auteurs favoris du moment, et je vais probablement attaquer “Nymphéas Noirs” dès que j’aurai terminé la lecture d’un gros pavé dont je vous reparlerai dans quelque temps… 😉